Un corps controlé, une beauté étouffée, une violence retranchée et qui la déborde.
Un lieu dans l'entre-deux de lui-même. Un lieu écrin d'un corps qui lui fait echo, celui d'un hermaphrodite en milieu de vie, auto-castré par amour.
Série de portraits qui affleurent l'enfermement, la taisance et l'état de perte des relations humaines. Les personnes représentées étant dans la réparation d'une douleur, dans un post-trauma.
Fictions Aptères est une série à la photographie sombre et qui ancre sa reflexion autour de la genèse du relationnel et de la question du portrait. Elle s'organise en séquence de 3 à 5 images, ponctuées de quelques images célibataires.
Elle était l’idéale voisine. Celle dont on ignore la présence, celle qui semble n’être jamais là. La voisine silence.